le silo

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LES CHOIX

Dès la naissance nous faisons tous des choix. Je dirais que les choix fait dans la petite enfance sont dicté par l'instinct, le cerveau reptilien, ils deviennent des obligations pour évoluer.. Manger, dormir, être aimer, ce sont tous des choix effectués sans avoir à y réfléchir beaucoup. Ils sont essentiels à notre bien-être, et suivent une logique "universelle" sur la terre entière. Un enfant du Japon choisira sans peine de manger plutôt que de lire un beau livre, s'il a faim. Et un enfant Canadien va choisir d'aller dormir plutôt que de jouer avec un jouet neuf s'il est très fatiguer. Mais déjà là, mon exemple implique un choix qui aura des conséquence fâcheuse si ce n'est pas le bon. Si ce même enfant préfère son jouet même si il est très fatigué et qu'il ne va pas se coucher, il risque d'être très malcommode le lendemain… si c'est le cas, il devra assumer les punitions qui vont de pairs avec son comportement détestable dû à la fatigue. Donc j'en conclu que les choix de l'enfance sont dictés majoritairement par nos parents et en deuxième lieu par l'instinct ou vice-versa. Notre analyse de la situation en cours durant notre enfance n'étant pas complète ou pertinente, nous devons nous en remettre à nos parents. Qui eux, normalement, font de leurs mieux aux meilleurs de leurs connaissances.

Plus tard, vers l'adolescence , une foule de choix s'offrent à nous. Une jungle, si je puis dire. C'est la débandade de choix dans toutes les sphères de notre vie. À l'école, avec nos copains, en famille, etc. Mais là, c'est différent. Car peu importe le choix, il faut l'assumer. Au début, l'adolescent-e qui arrive dans cette jungle, se laisse guidé par le plaisir absolu, en oubliant les conséquences. Si l'ado est entouré efficacement, s'il est bien encadré, il fera en principe des choix éclairés. Parce qu'un adulte sera à ses cotés pour le guider. Par pour lui dire quoi faire, ni comment faire, parce que là , plus de choix, mais bien pour le guider avec ce que lui, l'adulte croie juste. Évidemment que la recherche du bien-être sera toujours là, mais le choix y est justement là pour montrer différentes manières d'y parvenir. Ici je parle de choix plus "définitifs" comme le bien et le moins bien. Poursuivre ou abandonner devant les difficultés qui surgissent…. Les difficultés…il y en a beaucoup! La drogue, les mauvaises fréquentations, les actes de délinquance, les mauvaises influences, et j'en passe. Par contre il y a des choix plus plaisant, choisir le sport qui nous fera performer, choisir l'être aimé, choisir nos hobbies, et encore plus plaisant, choisir de passer ou non l'Halloween, choisir de manger ou non ce morceau de tarte, choisir entre un film triste ou une comédie. Ces choix-là ne sont tellement pas difficiles que je ne m'y arrête pas. Par contre, les choix qui vont rester imprègné pour le reste de notre vie, sont des choix, de un , de corruption, de deux, jamais bons lorqu'ils sont influencés par la recherche unique du plaisir. Comme la drogue, la cigarette, l'alcool, bref tout ce qui ruinent notre corps et notre âme. C'est si triste de voir un jeune choisir la drogue pour compagne lors de son adolescence. Mais ce choix lui appartient, il l'assume. Si plus tard ,on diagnostic une carence quelconque au cerveau due à la drogue…et bien comme dit le dicton, quand le vin est tiré, il faut le boire.(?)Souvent, à l'adolescence il y a des choix lourds de conséquences. Par manque d'expérience, manque de jugement ou encore par immaturité.

Ce qu'on ne peut décidément pas dire de la personne adulte qui est supposée être un individu responsable….Ses choix s'avèrent être bons tant et aussi longtemps qu'il les assume et qu'il n'empiète pas sur la liberté d'autrui. Chacun est responsable de ses choix, et non pas le voisin. Il les fait en toute connaissance de causes, supposément et vivre avec le reste de ses jours. Qu'ils soient bons ou mauvais , cela devient vérifiable au fil du temps. Cela peut être dans l'heure qui suit ou dans l'année en cours, c'est relatif.

Par contre, il y a aussi de rares situations où nous n'avons pas le choix. Je pense à la fillette qui est maltraitée,, elle n'a guère le choix que de subir, surtout si les mauvais traitements viennent d'un colosse de 6'5, 300 lbs !!!
La mort…là non plus il n'y a pas de choix…Il y a des choses inévitables qui réveille en nous le sens de la justice sociale, du devoir…Des devoirs que l'on ne peut ignorer sans se torturer avec la culpabilité de ne pas l'avoir fait. En fait, nous avons quand même le choix de dire non aux devoirs, mais ça, ça nous coûte souvent assez cher!

Le choix c'est une liberté…prenez en exemples les esclaves, ils n'ont aucun choix face à leurs tortionnaires, n'ont aucunes liberté d'actions réelles sauf une liberté là où aucun tortionnaires, quel qu'il soit ne peut atteindre, dans le pays intérieur, où vit l'âme.

Ne pas avoir de choix , c'est aussi de mourir sa vie…. si un individu ne vit que par des règlements, n'obéi qu'aux ordre des autres, n'analyse pas une situation mais plutôt la vit, ou la subit, si cet individu ne fait que se conformer sans avoir le choix entre droite ou gauche, entre noir ou blanc, alors oui, je pense qu'il meurt sans le savoir.
Il y a ici, un choix très épineux. Le choix du suicide assisté. Moi, si un jour ce choix devient inévitable dans ma vie, si je souffre sans espoir de guérison, si je devient une charge alors ce choix se présentera comme l'issue finale. Mais cela reste un choix. Je choisi de ne plus vivre parce que la qualité n'y sera plus, parce qu'alors la mort me sera plus douce.


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Vivre le moment présent
Si je devais choisir entre tous les enseignements que j'ai acquis ces dernières années, celui qui,, sans nul doute, est fondamentalement nécessaire est de vivre le moment présent. Le passé est dépassé et le futur n'est pas encore là. Entre le présent et le futur tout peut arriver, à quoi sert d'appréhender? rien, sauf se faire du mal par un espoir déçu, par une peur chimérique par une attente inespérée. L'action du moment présent ne reviendra jamais plus…par exemple,vivre un moment de félicité absolu avec l'être aimé se doit d'être dégusté avec attention car qui sait s'il va revenir? qui sait si l'être aimé ne va pas fuir ailleurs dans 5 ans ou encore mourir demain?
Il faut apprécier toutes les perles du moments présents, car ce sont des instants uniques…il y a aussi des embûches, que Dieu a mis là, sur notre route pour notre apprentissage…qui plus tard deviendra notre sagesse.
À quoi sert la nostalgie du moment passé? à nous remuer les émotions, car jamais il ne reviendra exactement comme il a été. Si à ce moment-là , l'action a été vécue intensément, il en restera un souvenir, agréable ou non qui n'aura pas à être vécu une deuxième fois si nous vivons pleinement l'instant présent car il n`y a pas assez de place pour les deux

Je crois que nous en avons tous au moins un. Peut-être certains ou certaines vivront leurs vies entière sans jamais l'avoir ressenti, l'avoir vu ou entendu. D'autres, qui y crois fermement, comme moi, monologue sans arrêt dans l'attente d'un signe, d'une manifestation quelquonque. Je me suis rendue compte que le signal en question n'est JAMAIS évident de prime abord. J'imagine qu'avec le temps et notre compréhension du language des anges, fait que nous arrivons à demystifier une réponse reçue de manière incongrue. Il faut toujours être à l’écoute. Nos appels, nos demandes ne restent jamais sans réponses, même si on le voit ainsi. Il s'agit de décortiquer les possibles messages de notre ange-gardien. Un message peut arriver par l'entremise du téléphone, lors d'une banale conversation. L'interlocuteur pourrait sans le savoir apporter un message de notre ange-gardien. Ou une simple lecture peut transporter les mots tant attendus. Peut importe le moyen, il faut juste être réceptif.

.Une des premiers préceptes que j'ai appris, et qui est devenu maintenant mon leitmotiv, c'est que le hasard n'existe pas! tout ce qui nous arrive, est là dans un but précis, est écrit dans un plan divin. pensez-y, les épreuves nous apportent toujours une leçon, un outil pour nous faire grandir. Elles arrivent toujours dans un but qui n'est pas à première vue évident lorsqu'elles arrivent, mais quand l'on s'arrète pour y songer...Parfois ce sont des circonstances agréables,qui nous attendent…on peu parler de coïncidences, moi j’aime mieux parler de rendez-vous avec le destin. Car c'est bel et bien des rendez-vous avec le destin ,mais orchestré par Dieu...

En parlant du pardon, je dois parler du miroir. Ils sont intimement liés ensemble. Le miroir est le "défaut" "la tache" que l'on voit chez les autres et qui nous fait réagir, ce que l'on aime pas, ce qui nous frustre au plus haut point. Ce défaut se retrouve dans notre zone d'ombre, là où l'on ne va jamais. Celle que l'on renie de toutes nos forces, par peur, dégoût ou tout autre sentiment négatifs. Bien souvent, ce que nous avons à pardonner provient du miroir caché.
Tout au long de notre vie, nous sommes confronté à divers miroirs. Les premiers sont évidemment nos parents qui nous éduquent au mieux de leurs connaissances mais qui, parfois développent des comportements déplaisants ou négatifs , selon nos croyances. Nous, en tant que bambin, enregistrons ce comportement dans notre subconscient et paf!| il est fort probable qu'il ressortira une fois devenu parent à notre tour..Alors, il nous appartient de le reconnaître et le corriger.
Plus on connaîs de gens, plus on vois des miroir…. la prochaine fois qu'une personne vous fait monter la moutarde au nez, demandez-vous qu'est-ce qui ce passe pour qu'une telle situation arrive? et chercher bien, tout au fond de vous si ce comportement n'est pas une composante de votre zone d'ombre. Il y aura toujours des miroirs longeant le chemin de notre vie. Mais plus on avance, plus nous acquerrons de la sagesse, sagesse de les reconnaître, sagesse de les pardonner…..

Le pardon doit passer par la compréhension, le pourquoi cette personne nous fait du mal, et qu'est-ce qui se passe ou c'est passé dans sa vie pour qu'il ou elle soit comme cela maintenant. Et surtout, on doit apprendre à ne pas juger sans savoir, et puis, qui sommes nous pour juger? ne dit-on pas "Avant d'enlever la paille de l'œil de ton voisin, commence par enlever la poutre dans le tien" ou un truc de ce genre…. Je sais, il est difficile de ne pas juger, surtout si l'individu ou la situation ne se trouve pas sur le chemin de nos connaissances, alors le pardon en devient d' autant plus difficile…mais faisable. Notre hygiène mentale sera plus propre, croyez-moi! Mais n'oubliez pas, pardonner ne veut pas nécessairement dire oublier, c'est quasi impossible! Nous ne sommes qu'humains, après tout! Quelle que soit la situation qu vous fait vivre l’autre,ne nourrissez jamais de ressentiments envers elle CAR elle a été placée là par vous pour vous faire évoluer et vous permettre de savoir ce que vous devez transformer en vous. Le pardon c’est aussi se permettre de continuer…car une rancune nous stoppe, nous empêche de continuer à évoluer. C’est une étape libératrice qui nous pousse un peu plus loin sur le chemin de la sagesse.

Karma est un mot en sanskrit, ancienne langue sacrée en Inde, il veut dire action. Mais il comprend aussi réaction, ce qui veut dire que ce que l'on fait et ce que l'univers , en réponse à nos actes, nous renvoie "Ce que l'on sème, on le récolte". Le karma c'est l'empreinte de nos actes passés sur notre conscience profonde. C'est la continuité de nos actes, ce sont des expériences par lesquelles nous devons passer pour apprendre, pour nous élever dans la spiritualitée,la peur,la rancune,etc, mais ces sentiments-là ,il faut les maitriser! les dissoudre avec de l’amour! Malheureusement, l’humain est un piètre élève à l’école de la vie..il doit revenir sur terre tant et aussi longtemps qu’il n’aura pas compris ! Tout ce qui est négatif, les mauvais sentiments,touts ce qui est noir doit laisser sa place pour du positif, de la lumière, mais cela prend souvent plus qu’une vie pour changer.
Vu que la notion de karma est indissociable de la réincarnation , je me devais de connaître l'un pour bien assimiler l'autre,

C’est simple , j’y crois. Je crois que dans notre existence terrestre, nous avons à expérimenter diverses lois divines. Par lois divines, j’entends la compassion, le pardon, la bonté, l’amour de notre prochain, l’amour des animaux..toutes les formes d’amour, quoi! Il y en a tellement à apprendre, qu’une seule vie s’avère insuffisante. Il y a aussi des trucs plus négatifs, la haine, la jalousi Karma est un mot en sanskrit, ancienne langue sacrée en Inde, il veut dire action. Mais il comprend aussi réaction, ce qui veut dire que ce que l'on fait et ce que l'univers , en réponse à nos actes, nous renvoie "Ce que l'on sème, on le récolte". Le karma c'est l'empreinte de nos actes passés sur notre conscience profonde. C'est la continuité de nos actes, ce sont des expériences par lesquelles nous devons passer pour apprendre, pour nous élever dans la spiritualitée,la peur,la rancune,etc, mais ces sentiments-là ,il faut les maitriser! les dissoudre avec de l’amour! Malheureusement, l’humain est un piètre élève à l’école de la vie..il doit revenir sur terre tant et aussi longtemps qu’il n’aura pas compris ! Tout ce qui est négatif, les mauvais sentiments,touts ce qui est noir doit laisser sa place pour du positif, de la lumière, mais cela prend souvent plus qu’une vie pour changer.Si je voulais imager mes propos, je dirais ceci; si dans une vie , un individu X devient un voleur,et bien fort possible que dans sa réincarnation son karma soit celui d'être volé à son tour! Cela peut très bien se faire dans une même vie, d'être bourreau puis devenir victime, mais sinon...on se réincarne.

Avant d'aller plus loin, je tenais à préciser à mes lecteurs-trices éventuels qu'ici je n'émet que mon opinion. Mescroyances, tout ce que j'ai assimiler sur le long de ma quète spirituelle. Je n'ai pas la prétention d'avoir LA vérité, la science infuse. De toutes façon, personne ne l'a. De Jésus à Mahomet en passant par Krishna ou Jéhova ou le dalei-lama , quoique.... pour ce dernier j'avoue que ses paroles sont justes, sa sagesse divine....mais,non,aucun maîtres spirituels ou pas, ne peut être la seule voie possible vers l'ultime lumière. Soyez comme moi...lisez un peu de tout et prenez ce qui est bon. Si l'on scrute chaque école de pensée,ou mouvement religieux, on verra bien que tout reviens à la même source...parfois les chemins engagés sont plus sinueux, plus long....mais fondamentalement tout les être vivant aspire au nirvana...Ne croyez pas à l'aveuglette, ne suivez pas un gourou...faites vos propres lectures,vos propres expériences,tirez-en vos propres conclusions à vous...